Poêle à bois

Le poêle à bois :
un plaisir écologique et économique accessible 

Pour améliorer le confort thermique de votre habitation et faire des économies d’énergie, le poêle à bois n’a plus à faire ses preuves. C’est sûr, c’est un chauffage écologique et économique, facile à installer qui s’intègre parfaitement dans tout type d’habitation. Quel poêle à bois choisir et comment réaliser les travaux ? On vous dit tout !

Le poêle à bois de nos ancêtres retrouve depuis plusieurs décennies, une place centrale dans les habitations. Comme chauffage complémentaire (ça c’est courant), mais aussi comme chauffage principal, grâce à des appareils de plus en plus sophistiqués qui fonctionnent en toute autonomie avec des rendements importants. Il peut brûler des bûches, mais aussi des briquettes reconstituées à partir de sciure de bois ou encore des granulés. 

Faire le choix d’un poêle à bois, c’est :  

  • utiliser un combustible renouvelable, économique et généralement produit localement 
  • réduire facilement sa consommation et sa facture énergétique 
  • peu voire pas polluer
  • choisir la simplicité d’installation
  • et, ce qui ne gâche rien, décorer son intérieur !

Avant de vous lancer dans l’installation 
de votre poêle à bois

Ne brûlez pas les étapes 😊. Vérifiez que vous avez un conduit de fumée ou que vous pouvez en installer un, assurez-vous également d’avoir l’espace suffisant pour installer l’appareil et stocker le combustible. Ça semble évident mais c’est bien de le redire ! 

Quel poêle à bois choisir ? 

Pas simple, quand le choix est large. Notre conseil : faites le tour de vos besoins et de vos contraintes pour choisir LE poêle à bois qu’il vous faut. Pas de panique ! On est là pour vous guider !

Pour un chauffage principal, vous pouvez opter pour un poêle à granulés ou pellets. Ses atouts ? L’alimentation en combustible automatique, la programmation et la régulation de la température, et l’autonomie de fonctionnement qui peut aller jusqu’à 72 heures. Il offre une très bonne efficacité énergétique (Etas) et pollue peu. Attention cependant au stockage des granulés qui sont sensibles à l’humidité.

Autre option : le poêle à accumulation ou inertie. Il utilise des bûches, marche à plein régime puis restitue lentement la chaleur accumulée grâce à des matériaux comme la faïence ou la brique réfractaire. Son efficacité énergétique saisonnière (Etas) est très élevée et il est peu polluant. En revanche il est lourd et massif. Ce qui veut dire : porter une attention particulière à sa position centrale dans l’habitation et à la solidité́ du plancher. 

Pour un chauffage d’appoint, le poêle à bûches ou briquettes reconstituées est idéal. Avec une efficacité énergétique saisonnière de 72 à 85%, son autonomie est de quelques heures et son inertie thermique est plus limitée. Les bûches sont largement disponibles et bon marché mais nécessitent un espace de stockage relativement important et une certaine manutention. Les briquettes reconstituées ont un pouvoir calorifique plus important, mais sont plus sensibles à l’humidité et ne peuvent être stockées à l’extérieur. 

Le label Flamme Verte obligatoire pour obtenir une aide financière

Plus les performances de votre poêle sont élevées, moins vous consommez de bois pour une même qualité de chauffage. Alors, pour choisir votre appareil, fiez-vous au label « Flamme verte ».

Les travaux d’installation en 5 étapes 
de votre poêle à bois

Vous êtes pressé ? Vous redoutez un chantier d’installation long et complexe ? On vous rassure, une journée, voire même une demi-journée suffisent à installer un poêle à bois. Il faut :

Réaliser l’arrivée d’air frais en traversée de mur, pour garantir que l’appareil soit suffisamment alimenté en air frais pour la combustion soit optimale.

  • Traiter l’environnement de l’appareil, c’est-à-dire protéger le mur avec une protection murale et protéger le sol s’il est combustible (parquet, vinyle…) avec une plaque de sol pour empêcher toute projection de cendre. 
  • Créer un conduit de cheminée, tuber un conduit existant s’il n’est pas adapté en termes de dimension ou si son étanchéité doit être renforcée, ou le chemiser c’est à dire enduire en plusieurs couches ses faces intérieures
  • Mettre en place le poêle en fonction de l’emplacement du raccordement.
  • Raccorder le poêle au conduit de fumées et au conduit de raccordement, c’est-à-dire au tuyau qui le relie au plafond de la pièce. Certains poêles sont raccordés au tuyau de poêle sur le dessus de l’appareil, d’autres sur l’arrière.

Nos conseils pour réussir l’installation 
de votre poêle à bois

C’est bon à savoir ! Le choix de l’emplacement d’un poêle dans une pièce est essentiel pour une diffusion optimale de la chaleur. On vous conseille de :

  • L’adosser à un mur de refend, mais non à un mur extérieur, pour emmagasiner puis restituer la chaleur au logement. 
  • Le placer près d’une cage d’escalier si vous souhaitez que l’air chaud circule à l’étage. 
  • Le placer idéalement au centre du séjour si c’est un poêle à accumulation.

À noter : l’installation d’un poêle à bois n’est possible qu’en cas de travaux réalisés dans une maison. 

Autre conseil : faites appel à un professionnel RGE (Reconnu Garant de l’Environnement), si vous voulez bénéficier d’une ou plusieurs aides financières. Cela vous garantit : le choix du bon appareil, la qualité de sa pose, son fonctionnement optimal, sa performance et son efficacité énergétique. 

La qualification RGE de l'artisan est obligatoire pour que vos travaux soient éligibles à la prime énergie. L'artisan RGE doit également être en charge de l'achat et de la pose de votre poêle à bois.

Encore un petit conseil ? Vous pouvez être accompagné du début à la fin de votre projet, gratuitement et par un professionnel signataire de la charte France Rénov' qui vous guidera à chaque étape. Pour en savoir plus : https://france-renov.gouv.fr/ 

Installer votre poêle à bois : 
quel budget prévoir ?

Pour un poêle à bûches, il faut compter entre 1 000 et 5 000 €, pour un poêle à granulés entre 1 600 et 6 000 €, pour un poêle à accumulation entre 5 000 et 16 000 €. A cela, vous ajoutez le coût de l’installation qui varie entre 250 et 1 500 €. Et éventuellement le coût d’installation d’un conduit d'évacuation des fumées qui varie selon le type de travaux (la hauteur du conduit, la difficulté d’approche et la pente du toit) soit : 1 900 à 3 500 € pour la création en fonction du nombre d’étages, 1 000 à 1 600 € pour la rénovation d’un conduit et le raccordement. 

On vous aide !
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Pour en savoir plus :

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